Un nouvel outil : le questionnaire en ligne

Rédigé par Claude | Classé dans : Généralités

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10 | 14

Voilà, je me lance dans un nouvel outil - un questionnaire en ligne, créé avec Typeform :

Powered by Typeform

Mots clés : aucun

Petits exercices

Rédigé par Claude | Classé dans : AVE 2015

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10 | 14

Pour la session d'animation 2014/2015, il y aura les petits exercices à préparer d'une journée sur l'autre. Voici un court résumé :

La préparation se fera en petits groupes, chacun désignant à tour de rôle un "rapporteur".

Les exercices de calcul pour les journées 2 à 4 ont été mis à jour le 22 janvier 2015. Pour compléter ces d'exercices, on pourra encore prendre les questions concernant le change à terme proposées à la promo 2013 :

Mots clés : aucun

Sujets d'exposés pour la session 2015 "Acheter et vendre à l'étranger"

Rédigé par Claude | Classé dans : AVE 2015

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08 | 14

Voilà la liste retenue pour les exposés individuels de la session 2015 :

  • Exposé N° 1 : Change & risques de change : généralités
  • Exposé N° 2 : Le change au comptant : acteurs, caractéristiques, cotation…
  • Exposé N° 3 : Devises partiellement convertibles, devises non convertibles : définitions, exemples
  • Exposé N° 4 : SEPA & DSP (Directive sur les Services de Paiement) et les flux SEPA (SCT&SDD) : ce qu’ils apportent
  • Exposé N° 5 : DSP II et le règlement sur l’interchange
  • Exposé N° 6 : Prêter et emprunter sur les marchés
  • Exposé N° 7 : Les financements d’exploitation MCNE (mobilisation de créances nées sur l’étranger) et AED (avances en devises)
  • Exposé N° 8 : Chèque et effet internationaux (définition, avantages et inconvénients)
  • Exposé N° 9 : La remise documentaire (définition, avantages et inconvénients)
  • Exposé N°10 : Les déterminants du taux de change à terme : théorie et exemples
  • Exposé N°11 : Les couvertures de change ; change à terme vs options
  • Exposé N°12 : Non Deliverable Forward : définition et exemples
  • Exposé N°13 : SWIFT et ses 3 métiers : réseau, normes et tiers de confiance
  • Exposé N°14 : Les comptes de correspondants
  • Exposé N°15 : Echange et règlement d’un virement international et exemples illustrés
  • Exposé N°16 : De la faillite de Herstatt à CLS
  • Exposé N°17 : La carte d’achat
  • Exposé N°18 : La lutte contre le blanchiment et le terrorisme
  • Exposé N°19 : Le cash management international et ses outils
  • Exposé N°20 : Les garanties bancaires internationales - généralités et présentation des différentes cautions
  • Exposé N°21 : Le crédit documentaire : présentation générale
  • Exposé N°22 : La lettre de crédit stand-by : ouverture et mise en jeu
  • Exposé N°23 : La compensation
  • Exposé N°24 : BPO et reverse factoring
  • Exposé N°25 : Investir dans une filiale à l’étranger : opportunités, menaces et moyens

Cette liste pourra être "réduite" en fonction du nombre exact d'étudiants.

Travail attendu

  • L’étudiant doit réaliser un powerpoint comprenant au maximum 8 slides de contenu, ainsi qu’une slide de titre et une slide comprenant la liste des sources utilisées.
  • L’étudiant dispose ensuite de 8’ en cours pour présenter cet exposé. Il est conseillé d’utiliser des exemples afin de rendre la présentation « intéressante ».
  • Les exposés finalisés sont mis à disposition des autres étudiants sur un espace web de partage de documents.

Calendrier

  • choix des exposés à faire après le cours du 17/10/2014 - il est attendu qu'un étudiant me renvoie 1 (et une seule) liste avec la répartition des exposés
  • 1ère version (ppt/pptx) à envoyer pour le 30/11
  • 2ème version (définitive, suite à mes commentaires) au plus tard pour le 21/12

Cet exposé fait l'objet d'une notation. L’absence de remise du support dans les délais ou le fait de ne pas présenter l’exposé dans le calendrier tel que prévu et distribué en début d'année entraine une pénalisation sur cette note.

Mots clés : aucun

Session 2015 de "Acheter et vendre à l'étranger"

Rédigé par Claude | Classé dans : AVE 2015

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08 | 14

La préparation de la prochaine session est quasi finie :

  • la formation passe de 5 demi journées de cours de 3h30 à 6 de 3h, + la journée zéro d'introduction et de méthodologie
  • les travaux à faire entre chaque cours sont mieux formalisés et seront à faire en petits groupes, qui seront constitués par l'animateur après la journée zéro
  • le travail terrain est reconduit : en effet, c'est le meilleur "mini-cas" que l'on puisse trouver !
  • une partie de la notation des travaux des étudiants continuera à porter sur al forme...

Les pré-requis sont inchangés par rapport à l'an dernier : lire l'article sur le sujet, ainsi que les objectifs pédagogiques.

Les dates retenues pour la prochaine session sont les suivantes :

  • vendredi 17/10 matin 9h/12h : 0 - présentation du module, sujets d'exposés et méthodologie
  • mardi 27/01 après midi 14h/17h : 1 - modules I (change comptant) et II (SEPA) 
  • mercredi 28/01 matin 9h/12h : 2 - modules III (financements) et IV (moyens de paiements internationaux, 1ère partie)
  • mardi 17/02 après midi 14h/17h : 3 - modules V (change à terme) et VI (moyens de paiements internationaux, 2ème partie)
  • mardi 10/03 matin 9h/12h : 4 - modules VII (change/exercices) et VI (moyens de paiements internationaux, 3ème partie)
  • lundi 30/03 matin 9h/12h :  5 - modules VII (change/exercices) et VIII (garanties et crédits documentaires)
  • mardi 31/03 matin 9h/12h : 6 - modules VIII (garanties et crédits documentaires, suite), VII (change/exercices), XI (moyens de paiements internationaux, 4ème partie) et clôture

Au niveau des modalités de contrôles :

 

Mots clés : aucun

L'obligation bancaire de paiement (Bank Payment Obligation-BPO)

Rédigé par Claude | Classé dans : Pour aller plus loin

09
03 | 14

Définition

Extrait d'une fiche technique intitulée "LES MOYENS DE PAIEMENT A L’INTERNATIONAL" mise à jour en janvier 2014, éditée par le GREX de la CCI de Grenoble

La BPO est une nouvelle technique de paiement développée par Swift et la chambre de commerce internationale (ICC). Il s’agit d’un engagement irrévocable donné par une banque à une autre banque d’effectuer un paiement à une date donnée suite à un fait générateur.

Ce fait générateur est avéré si et seulement si le rapprochement électronique de données réalisé par le Swift TSU (trade services utility) ou une application technique équivalente aboutit avec succès.

La BPO est régi par des règles uniformes: uniform rules for BPO/ URBPO datant d’avril 2013.

Elle permet de sécuriser le paiement d’une échéance via l’échange de données électroniques et non plus l’échange de documents, c’est donc une alternative au crédit ocumentaire.

Une attention toute particulière doit être accordée aux données électroniques qui devront être 100% compatibles pour déclencher le paiement. Cette technique est en cours de déploiement dans le réseau bancaire.

Avis d'expert

L'expert cité ici est Guillaume ALMERAS, de Score Advisor, dans un article intitulé "Swift : la vraie révolution des paiements ? "

SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecom) est un réseau interbancaire mondial de communication. Un système très sécurisé d’échange d’informations entre les banques qui en sont membres, qui leur permet de traiter leurs opérations. Aujourd’hui, 90% du financement du commerce international passe ainsi par Swift.

Il y a quelques mois, Swift et la Chambre de commerce internationale (ICC) ont officiellement lancé le « BPO » (Bank Payment Obligation) qui a vocation à se substituer aux crédits documentaires tels qu’ils sont actuellement réalisés. Présenté ainsi, le sujet est assez aride et, de fait, il n’a été relayé que par la presse spécialisée dans les techniques du commerce international. Pourtant, le BPO offre un modèle qui, demain, pourrait bien valoir pour l’ensemble des paiements.

Il ne peut s’agir ici d’exposer les principes du crédit documentaire. Disons très rapidement, pour ceux qui en ignorent tout, que le commerce international met en contact un vendeur et un acheteur de deux pays différents, parfois très éloignés, ce qui crée une évidente situation d’incertitude : s’il paie, l’importateur sera-t-il livré ? S’il expédie, l’exportateur sera-t-il payé ? Bien entendu, une telle incertitude est créée par tout acte d’achat mais elle est exacerbée dans un contexte international (situation politico-économique des différents pays, voies de recours, etc.). Pour y remédier, l’acheteur et le vendeur vont faire intervenir leurs banques, lesquelles vont organiser le paiement au vu de documents d’attestation, portant notamment sur la livraison réelle de la marchandise. Les banques pourront également proposer à leurs clients des garanties (contre le risque pays, par exemple) ou des financements.

Le problème est que tout ceci est assez complexe, long et lourd à gérer, puisqu’il se fonde sur la validation d’une documentation technique sous format papier, dont le simple acheminement est parfois plus long que celui des marchandises. Depuis sa création, en 1973, Swift a permis de dématérialiser et de standardiser les échanges d’information entre banques (ex : ouverture du crédit documentaire) mais pas entre vendeur et acheteur (bons de commande, factures, …) ni vis-à-vis des intermédiaires (douane, transporteurs, …).

Le BPO simplifie considérablement tout ceci en jouant pleinement des facilités qu’apporte la dématérialisation des actes commerciaux : la banque de l’importateur prend l’engagement irrévocable de payer la banque de l’exportateur au vu d’un process de déclaration et de validation formelles gérées sur une plateforme de Swift (TSU). La documentation papier disparait du process, remplacée par des messages aux normes ISO 20022 qui véhiculent toute l’information que cette documentation apportait jusque là.  Dès lors : 1) le process de règlement ne peut plus être source de délais, il est instantané par rapport à l’échange de marchandises ; 2) les coûts de traitement baissent significativement.

Il est encore trop tôt pour se prononcer sur le futur succès du BPO – que d’ores et déjà quelques multinationales, comme BP Chemicals ont adopté. Mais, d’emblée, plusieurs éléments de ce système sont frappants :

  • L’apport opérationnel de la dématérialisation des actes commerciaux passe par leur forte standardisation/simplification – en l’occurrence menée par l’ICC dans la définition des Uniform Rules of BPO.
  • La valeur ajoutée qu’est à même de procurer un système interbancaire est particulièrement importante : dimension universelle (Swift compte 9 700 membres, dans 209 pays) permettant à tous les acteurs économiques de réaliser des transactions, rôle quasi notarial de tiers de confiance (non répudiation des échanges Swift, archivage). Ces éléments sont à souligner, alors que de nouveaux acteurs non bancaires sont aujourd’hui tentés de s’immiscer dans le marché des paiements.
  • L’opportunité pour les banques de développer ou de renforcer certains services (financement, gestion de trésorerie, …) dans le cadre d’une chaîne de traitement dématérialisée. Sans parler de la possibilité d’agir en marque blanche sur les BPO, au profit d’autres banques qui n’auront pas un flux d’opérations suffisant pour s’y lancer.

De tout cela, on peut retenir qu’un avenir des paiements se dessine ici, qui pourrait bien se généraliser et qui passe par l’intégration, à travers la dématérialisation des actes commerciaux, des échanges réels et des flux de règlement. La clé ? Une messagerie interbancaire standardisée capable d’accompagner les flux de paiement – exactement ce que propose le projet Sépamail en France, dont nous avons plusieurs fois souligné sur ce site le caractère prometteur.

Pour aller plus loin...

Lire l'article sur le site de SWIFT.

Mots clés : aucun

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